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Résultats de l’enquête de Dr Bassecour vétérinaire « Vaccins en conditionnements adaptés aux petits élevages »

Nous remercions les 700 éleveurs ou propriétaires de volailles, pigeons, lapins et cobayes qui ont pris le temps d’y répondre.

Écrit par le Dr. Alexis Kiers vétérinaire *

Révision le 03 novembre 2021

Poule pondeuse montrant des signes de Coryza Infectieux (Avibacterium paragallinarum)

Poule pondeuse montrant des signes de Coryza Infectieux (Avibacterium paragallinarum)

© A. Kiers – Dr Bassecour vétérinaire

Résultats de l’enquête de Dr Bassecour vétérinaire « Vaccins en conditionnements adaptés aux petits élevages »

Vous êtes près de 700 éleveurs ou propriétaires de volailles, pigeons, lapins et cobayes à avoir répondu à l’enquête initiée par l’équipe de Dr Bassecour vétérinaire : « Vaccins en conditionnements adaptés aux petits élevages ». Hormis quelques éleveurs professionnels, les réponses proviennent d’éleveurs amateurs de races patrimoniales (70 %) et de propriétaires d’une petite bassecour juste pour le plaisir (27 %).

Coryza, coccidiose et parasites externes sont, sans surprise, les principales maladies reconnues et rencontrées. Ce qui est plus surprenant, c’est qu’il y a beaucoup de cas (34 %) de poules malades sans qu’un diagnostic ne soit établi (mort subite ou affaiblissement général). Ces chiffres peuvent être mis en parallèle avec le manque de suivi sanitaire. En effet, 39 % des élevages et bassecours ne sont pas suivis par un vétérinaire, dont 17 % qui aimeraient bien mais qui ne trouvent pas de vétérinaire suffisamment expert à proximité. C’est pour pallier ce manque que Dr Bassecour a été créé !

Préparation d'un vaccin dans un petit élevage de volailles

Préparation d’un vaccin dans un petit élevage de volailles
© A. Kiers – Dr Bassecour vétérinaire

En l’absence de vaccins contre les maladies respiratoires des volailles et de suivi vétérinaire régulier, 37 % des élevages amateurs et des bassecours traitent leurs volailles aux antibiotiques au moins une fois par an. Les traitement antibiotiques posent deux problèmes : antibiorésistance et résidus de médicaments dans les œufs et la viande. A titre de comparaison, les élevage de volailles professionnels Bio français ne traitent plus du tout aux antibiotiques. Enfin, vous êtes plus de 59 % à préférer prévenir les maladies respiratoires des volailles avec un vaccin, s’ils étaient disponibles.

En ce qui concerne le conditionnement « idéal » d’un flacon de vaccin, les réponses sont plus diversifiées. Les éleveurs amateurs de race patrimoniales souhaitent un vaccin contenant entre 10 et 100 doses avec une préférence pour un flacon de 50 doses. Les propriétaires d’une petite bassecour juste pour le plaisir privilégient un conditionnement entre 1 et 20 doses, avec une majorité votant pour des flacons de 5 ou 10 doses.

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* Information sur l’auteur

Alexis Kiers est le fondateur de Dr Bassecour vétérinaire. Il a consacré la majeure partie de sa carrière à la médecine des volailles.